Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
Dans Loin des yeux, loin de lécran ?, Daniel Kaplan parle de la distance et proximité dans le monde des espaces sans distance (réseaux).
Les études montrent que deux correspondants qui se rencontrent fréquemment télécommuniquent aussi plus souvent que la moyenne. Ce qui, par parenthèse, montre aussi que les réseaux numériques ne contribuent pas particulièrement à isoler les urbains les uns des autres. On sait aussi que certaines équipes, voire certaines entreprises peuvent fonctionner de manière chaleureuse et efficace à distance ; mais les exemples déchecs sont tout aussi nombreux et dans la quasi-totalité des cas, les équipes qui marchent prévoient des moments réguliers de convergence physique.
Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
In From Position to Place, Jeffrey Hightower about the need for application to reason about “place”, not coordinates. Existing systems rely on manually defining places which, while useful, does not scale to ubiquitous deployment. Generically, place is a human-readable labeling of positions. Current approaches require manual definition of places. I must, by hand, delineate and label my neighborhood, property, rooms, furniture, and service areas of my devices. Manual definition does not scale. Instead, ubiquitous deployment requires automatically learning significant regions and semantically labeling them as places.
The challenge is to augment maps of physical features with the dynamic data to, over time, suggest geometric regions which are good candidates to label as places. Label directly represents the place�s demographic, environmental, historic, personal, or commercial significance and is the desired abstraction for emerging proactive applications.
The interface should be capable of answering both �What place labels are associated with my current coordinates?� and �What is the probability I am currently is in a place P?�
Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
Outcomes of an experience of creating content to simulate a future of ubiquitous geo-located information: Why people will geo-annotate physical space
What’s most crucial for this future to thrive? Interface. Simple, convenient interfaces for inputting annotations, and uncluttered, filtered interfaces for receiving annotations. Trust systems, social networks, and personal profiles & preferences will be necessary tools for survival when every urban street corner may have hundreds of annotations. And my biggest takeaway from this exercise? The future of geo-tagged content doesn’t just belong to the coffee shops that will beam unwanted coupons as you walk by (this will inevitably be done, and let’s hope it dies a quick death) . This new medium will be most fully realized by people — they’ll use this forthcoming infrastructure, just as they have others in the past, to communicate, connect, and live life in new ways.
Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
Les m�dias localis�s : point de contact entre le r�el et le virtuel est un dossier sp�ciale de la InternetActu sur les locative medias.
La g�olocalisation englobe aujourd�hui une tr�s large palette de solutions qui permettent � la fois de situer (rep�rer, cartographier), d�acc�der (tracer des itin�raires) et de conna�tre (“regarder� ce qui est � proximit�) un espace d�crit dans un format num�rique. La g�olocalisation s�est surtout appliqu�e � l�univers mobile pour rep�rer les objets et les personnes dans l�espace physique. Elle permet de d�terminer sa position g�ographique, �ventuellement une direction de d�placement, et � partir de ces donn�es, d�acc�der � des informations de proximit� ou � des services �contextualis�s”, adapt�s au lieu et � la situation de l�utilisateur. En appliquant les technologies de localisation � des donn�es, � des sites web, � des syst�mes d�information, on permet aux informations num�riques d�interagir de toutes sortes de mani�res avec le monde physique.
On parle de plus en plus de Locative media (qu�on pourrait traduire par m�dia localis�) pour d�signer des syst�mes d�informations num�riques dot�s de coordonn�es g�ographiques permettant aux mondes physique et num�rique de s�interp�n�trer � leurs points de convergence. (intersection de l’espace virtuel et de l’espace physique). La g�olocalisation est encore une technologie tr�s perturbatrice. Sans compter que ces exp�rimentations sont tr�s orient�es technologie et ne prennent pas assez en compte les utilisateurs et leurs activit�s. Mais surtout, les m�dias localis�s n�cessitent bien souvent une masse critique d�utilisateurs pour fonctionner convenablement et faire sens, et elle est loin d��tre atteinte. L�objet d��tude des m�dias localis�s est bien de mettre en perspective l�action du milieu g�ographique sur l�affectivit� par le biais de l�hybridation du r�el et du virtuel.
Posted: January 30th, 2005 | 1 Comment »
In Indoor Location Technology Opens New Worlds, Kris Kolodziej makes an introducation to indoor positioning technologies.
Indoor positioning technologies relate people, objects and events in space. Building a positioning system that works weel indoors is a challenge, because signals reflected of walls, floors and cellings tend to confuse sensors, and often there are obstructions between sensors and objects being tracked. Several positioning methods can be used alone or combined:
- Triangulation
- Scene analysis
- Proximity
Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
Politics-Oriented Software Development is yet another post about software projects disastrously prone to failure. I like that it does not point the problem on the methodology and the structures of business organizations.
Real world companies are made up of individuals working for their own goals: career advancement, more money, or just the chance to slack off. Occasionally it may be in someone’s interest to build a successful project. Usually it’s more useful to sabotage it.
Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
Dans “L’information tend à devenir un produit de consommation“, Bertrand d’Armagnac et Bénédicte Mathieu parle de la modification ces dernière années du comportement des français face à l’information. Les sources se sont multipliées, et surtout le rapport de chacun à l’information a changé. La consomation de médias a pour ressort l’envie de ne pas “passer pour un idiot”,, et de manière plus large, le désir de se sentir relié au monde et connecté aux autres. La notion de “média référent” vers lequel l’individu se tourne de manière systématique et quasi exclusive est du coup battue en brèche. Par contre, ne reste souvent que “le sentiment superficiel de savoir”. Les consommateurs d’information accèdent aux faits plutôt qu’au commentaire. Ils chercheraient à se faire une idée par elles-mêmes plutôt que de passer par le filtre d’un seul média. Les consammateurs d’informations cherchent à comprendre le monde par ces nouveaux prismes (journaux et recherche sur le Net)
Posted: January 30th, 2005 | No Comments »
Klaus Stöhlker, auteur de livre au titre racoleur “La Suisse en détresse”, donne sa vision de la Suisse dans l’AGEFI “Apprenous à marier nos contradictions!”
- Zürich est à la fois trop grand pour la Suisse et trop petite pour le monde
- Blocher est un néoconservateur. Il défend des valeurs, tout en étant un ferme partisan de l’économie de marché. C’est une position respectable qui appelle un débat et non une diabolisation.
- Il nous faudrait cinq cantons, ainsi qu’un gouvernement national et non une administration envahissante au point que maintenant, ‘cest vers elle que se dirigent les lobbies, et nous vers les parlementaires
- Il faudrait nous souvenir de ce que le terme Aleman signifie, à savoir que la chose publique est l’affaire de tous. Comment renouer avec cette tradition dans le contexte de la globalisation?
- Il me semble qu’en Suisse, en matière d’information, nous nous enfonçons justement dans une sombre forêt.
Posted: January 29th, 2005 | 4 Comments »
Via the Edinburgh University Library on Scandinavia: Swedish suicide rates:
A table of Suicide rates compiled by the World Health Organisation, Geneva, 2003, shows that while other Nordic and Baltic countries do show high rates of male suicide (e.g Lithuania, Estonia and Finland), Sweden does not exhibit an unusually high rate. Indeed France, New Zealand, Australia and Germany each show higher rates than Sweden. The Swedish rate is slightly higher than Canada and the USA perhaps but not the highest in the world. The myth of Swedish suicide” has its roots in the late-1950s when the American President Dwight D. Eisenhower referred to it in a speech which had been based on an inaccurate briefing. The President had tried to paint a negative picture of Sweden, a nation which – with its cradle-to-grave socialism – had set itself on a post-war neutral stance outside the then embryonic-NATO and American influence. Ever since many people have accepted the picture as fact and perpetuate the myth.
Posted: January 29th, 2005 | No Comments »
Funny rants & raves post on Craigslist on “You know you’re from SF when…“. Well the title is misleading, because nobody is really from SF. It should be more something like “You know you’ve been living in SF for too long when….”. My favourites are:
- You couldn’t figure out how to drive to Coit Tower if your life depended on it.
- Rainstorms or thunder are the lead story for the local news.
- When you drive under an underpass – for one moment you think “earthquake”.
- You realize the only Republicans you know are your Aunt and Uncle in Texas.
- Through years of practice, you have perfected the art of the helpless looking “sorry, i’m broke” shrug that you use when someone asks you for change.